[La plume de Pandawa]

Déesse pandawa peut nous réserver de drôles de surprises, la preuve dominé par une simple plume de kwak et aspergé d'ancre de kralamours, mes œuvres ressemble toujours un peu plus à un délire d'alcoolique.

C'est parti !

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sur les bases de "La rivière de notre enfance"

https://www.youtube.com/watch?v=2m3e_TObwfo
ou
https://www.youtube.com/watch?v=9VU7ZTIsY3M&NR=1

Je me souviens d'feca, je me souviens d'osa
Du tout début d'un monde qui était fait pour moi,

Je me souviens d'une ile, je me souviens d'une toile
De cette ile brillante, T'attirant tout comme moi

Je me souviens d'un code, je me souviens du mal
la découverte du monde, tellement grand pour moi

Je me souviens poubelles, je me souviens de Djaul
Et d'un autre serveur attiré par tout ses mots

Ce n'est pas d'la bière qui coule dans mes veines, c'est les souvenirs du temps perdu.
Ce n'est pas son hack qui me fait de la peine, c'est juste ses belles années foutues

Je me souviens départ, je me souviens d'une ligne
De la suivre follement sous la lueur d'helsephine

Je me souviens d'sadi, de mes soirées de fêtes
De se parfum d'alchi, d'avoir cueillit tous ses trèfles

Je me souviens d'un arbre, je me souviens du hack
et aussi de ceux qui m'avais dis adieu

Je me souviens d'une guilde, je me souviens de storm
et plus tard de m'avoir relevé, peu à peu

Ce n'est pas d'la bière qui coule dans mes veines, c'est les souvenirs du temps perdu.
Ce n'est pas son hack qui me fait de la peine, c'est juste ses belles années foutues

Ce n'est pas du malt qui coule dans mes veines, c'est les souvenirs du temps foutue
Ce n'est pas son hack qui me fait de la peine, c'est juste ses belles années perdus.

Sur les bases de (Amsterdam ; Jacques Brel)
-> https://www.youtube.com/watch?v=3xtxbpoR6KQ
-> https://www.youtube.com/watch?v=pwQLRIA0mbA

Sur le bord de la table
Un pandawa se lamente
Sur l'amour qui lui manque
Dans son cœur, dans son âme
Près du port d'Madrestam
Sous les ombres des vieux Ormes
Caressé par Maimane
Loin de grosses bêtes à cornes

Dans le port d'Madrestam
Le xelors regarda l'heure
Santant la peine sur sa lame
Sa main sur son cœur
Mais Dans le port d'Madrestam
Là où son corps on y laisse
Sous un air de messe
Dans l'eau son corps se fane


Toujours près de sa Table
Pandawa regarde les anges
Se remplissant la panse
De boissons pleines de ferments
Avec son air déprimant
Ravalant son Amertume
A composer par sa plume
Des mots que les cœurs entendent

Et ses mots le tuent
Et la déprime le quitte
Que Rushu prend la fuite
Et ne reviennent plus
Puis enfin en pleurant
Sans un gout à la fête
Il leva enfin la tête
Et écouta le bruit du vent

Dans l'eau claire d'Madrestam
Retournant à l'enfance
Le sang gisant de sa panse
Et sa tête sur leurs lame
Et ils crachent et ils lancent
Des insultes sur l'immolé
Dans un air enragé
Des tambourins et lances

Et ils boivent un p'tit coup
Devant ce corps en train d'mourir
Et ils hurlent comme des loups
Un autre meurtre en ligne de mire
Alors, comme se brave
Alors, comme cette mer
Hurlant dans cette entrave
Qu'est cette honte amère

Et loin de cette table
Le panda, se brave
Pataugeant dans la bave
De caskargo en or

Se talent éhonté
Aux oreilles d'Madrestam
De Brâkmar ou d'ailleurs
Entendu par leurs lames
Qui, planté dans un corps
Qui, volant une âme de plus
En provoquant la mort
D'un innocent abattu
Ne regardant pas vers le ciel
Se plantant dans la moelle
Et ils regardent l'heure
Comme une secte fidèle

Dans le port d'Madrestam

Dans le port d'Madrestam.